Il me semble pourtant simple d'interroger 200 ou 300 régimes en donnant le nom de la personne et son numéro de sécurité sociale, car ces informations existent dans les caisses, à portée de clic. À ma connaissance, il n'y a plus d'endroit où l'on utilise encore un support papier…
Il n'est pas question de dénigrer ce qui a été fait, mais de comprendre comment on peut mettre treize ans pour faire quelque chose de très simple. S'agit-il d'obstacles juridiques, d'obstacles mis par des institutions soucieuses de garder leurs informations et leurs rapports privilégiés avec leurs cotisants, d'obstacles tenant à la gouvernance du système ? C'est ce que nous essayons de comprendre.