Je retiens des synthèses que nous consultons au SGAE que, d'une part, les sujets les plus difficiles ont été repoussés en fin de négociation et qu'ils restent donc à traiter et que, d'autre part, les États-Unis tentent d'imposer à l'Europe le modèle de l'accord qu'ils ont signé avec la zone Pacifique. Autrement dit, le coeur de la négociation reste à venir. De ce point de vue, les travaux et préconisations du CESE et du Parlement européen sont très utiles et montrent bien que rien n'est encore réglé, et que nous gagnerons tous à ce que les choses soient clairement énoncées.