Concernant la Syrie, vous avez parlé de « gang des barbares » : or, on a l'air de s'étonner aujourd'hui alors qu'on a fait la part belle à Bachar el-Assad et à son père, auxquels nous avons réservé un accueil favorable. Peut-être n'aurions-nous pas dû le faire. Il en est de même s'agissant des anciens dirigeants libyens.
Par ailleurs, quelle est votre action s'agissant de Gaza ? Quelles sont vos relations avec votre homologue du Conseil de l'Europe ? Menez-vous une action en matière de mines antipersonnel et de bombes à sous-munitions, contre lesquelles la France a beaucoup oeuvré ?