Lors de son audition, M. Jean-Pierre Kieffer, président de l'Œuvre d'assistance aux bêtes d'abattoirs (OABA), nous a notamment déclaré que beaucoup de mauvaises pratiques proviennent de non-vérification de la perte de conscience. Il précisait qu'un groupe de travail consacré à la perte de conscience des porcs allait être mis en place avec l'ANSES. Ce groupe est-il déjà en place, a-t-il commencé ses travaux ?
Ne serait-il pas utile d'adapter le rythme de l'abattoir à ces nécessaires vérifications de la perte de conscience, pour le bien-être animal et plus généralement pour le bien-être de tous ? Cela devrait être une obligation, me semble-t-il.