La question de l'échantillonnage – quel est le nombre d'animaux sur lequel il faut mesurer l'inconscience ? – est d'autant plus importante que le flux de ces animaux est dense, comme c'est le cas dans les abattoirs de volailles. C'est pourquoi l'ANSES s'est emparée du dossier.
Par ailleurs, Mme Françoise Dubois a raison d'évoquer la situation anxiogène dans laquelle se trouvent les abatteurs. Certains inspecteurs vétérinaires parlent même de situations de souffrance psychologique. Cela doit être dit, et il est indispensable d'envisager des mesures d'accompagnement de ces personnels.