C'est pourquoi j'ai mentionné l'agrégation des fichiers à venir, qu'il s'agisse du CépiDC, des données médico-sociales ou de celles issues des assurances complémentaires. Sans compter les objets connectés, qui vont venir alimenter l'ensemble des banques de données. On voit bien qu'il y a une inadéquation complète des moyens.