Oui, elle est victime de son succès. Elle n'en joue pas moins un rôle très utile, y compris en Russie.
S'agissant de la lutte contre les mines antipersonnel et les bombes à sous-munitions, elle relève plus du droit humanitaire, du droit de la guerre et de la direction des affaires stratégiques que de la direction des droits de l'Homme. La France joue en effet un rôle moteur dans ce domaine.