Et le Pape accepte bien évidemment cette invitation, je peux vous le confirmer.
Oui, l’Europe est confrontée à des crises. Nous y ferons face ensemble, avec les autres Européens, en particulier avec l’Allemagne, qui est notre principale partenaire. Sur tous les bancs de cette assemblée, nous devrions plutôt nous unir afin que soit entendue la voix de la France, qui défend une Europe fondée sur des valeurs, valeurs qui ont permis de battre l’extrême droite hier en Autriche, une Europe fondée sur la solidarité et dont l’ambition est de peser dans le monde de demain.