En effet, et le Sénat.
Les start-up d’État, qui ont été saluées – et cela m’a fait plaisir –, ont vocation à s’élargir à un plus grand nombre encore de porteurs de projets. Ces structures, qui ont permis la mise en ligne de « data.gouv.fr » et « mes-aides.gouv.fr » ou la création de « La Bonne Boîte » sont la preuve que des projets expérimentaux, réalisés avec des ressources financières et humaines très limitées, peuvent apporter un véritable service aux usagers – par exemple les bénéficiaires de prestations sociales, dont les démarches sont simplifiées. Elles ont vocation à se multiplier dans tous les ministères et à accueillir des profils de porteurs de projets plus divers. C’est aussi l’application du fameux droit à l’erreur que Corinne Erhel et Michel Piron ont appelé de leurs voeux, qui ne doit pas cependant conduire à une généralisation – cela serait fâcheux.