Celles-ci préfèrent vendre leurs propres produits, financés seulement par les éleveurs. Les exploitants agricoles se retrouvent alors démunis face à leurs interlocuteurs du secteur bancaire.
Quelles solutions comptez-vous prendre pour débloquer la situation et faire que cette année blanche soit réellement proposée par les banques ?
On dit que, dans votre département de la Sarthe, beaucoup d’éleveurs ont pu bénéficier de ce dispositif. On avance même le chiffre de 500 dossiers…