Monsieur le député, le jugement du tribunal de commerce du 20 novembre 2015 prévoit que le repreneur « s’engage à maintenir de manière pérenne le siège social de la société nouvelle à Marseille ». C’est aujourd’hui le cas : le siège et les principaux bureaux, où travaillent environ 188 personnes, sont localisés dans cette ville. Ce maintien n’est assuré que dans un premier temps, puisque le nouveau repreneur, Corsica Maritima, a annoncé que le siège social devrait être transféré à Ajaccio courant 2017. Il s’agit d’une décision de l’actionnaire, que le Gouvernement n’a pas à commenter, pour autant que le siège soit situé en France et bien géré. Cependant, j’entends votre argument.