Je rappelle que la contribution de l’État, via la dotation de continuité, atteint 187 millions d’euros, sans même faire mention des exonérations de charges décidées pour préserver la compétitivité de notre pavillon ni du programme exceptionnel d’investissement qui lie la Corse à l’État sur la période 2002-2017 pour un montant avoisinant les 2 milliards d’euros. L’ensemble de ces chiffres méritaient d’être mentionnés.