La réponse tient dans ce que l'on a appelé le « triangle de velours », qui lie les « fémocrates », les universitaires et chercheuses, et les représentantes des associations qui oeuvrent sur le terrain pour exercer une pression dans la même direction. Pour la parité, nous avons ainsi vu se dessiner un espace de la cause des femmes à l'intérieur duquel plusieurs acteurs ont agi dans le même sens pour obtenir des avancées.