M. Beffa, vous avez évoqué la nécessité d'un nouveau pacte social pour la gouvernance des entreprises sans citer le terme de participation, idée chère aux gaullistes. La détention d'une partie non négligeable de son capital par ses salariés a permis à Eiffage de résister à l'OPA inamicale de Sacyr. Il est difficile de définir le niveau de participation des salariés au capital d'une entreprise qui permette de la mettre à l'abri d'opérations de la sorte. Comment pourrions-nous favoriser encore davantage la participation des salariés ?