Intervention de Catherine Lemorton

Séance en hémicycle du 31 janvier 2013 à 15h00
Indépendance de l'expertise en matière de santé et d'environnement et protection des lanceurs d'alerte — Article 1er a, amendement 40

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCatherine Lemorton, présidente de la commission des affaires sociales :

Si, cela complète ce que vient de dire le rapporteur !

Aujourd'hui, toute personne qui estime avoir subi les effets secondaires d'un médicament peut, en toute liberté, en faire état sur le site de pharmacovigilance. Aucun professionnel de santé ne fait barrage pour analyser cette alerte.

Faut-il attendre un nouveau scandale pour autoriser cela ? Pour ma part, je dis non. L'article dont nous débattons me paraît tout à fait cohérent, d'autant plus que le dispositif existe déjà en matière de pharmacovigilance.

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