Vous partez d'un principe simple, qui laisse à penser qu'il y a une suspicion pour tous les prestataires d'investissement. Je crois que c'est une erreur fondamentale. Il faudrait partir du principe qu'il existe, en France, des instruments financiers légaux, avec des opérateurs reconnus sur la place publique, qui offrent des produits de gré à gré qui ne sont pas toxiques.
Il faudrait leur permettre de poursuivre une activité professionnelle. Telle est l'idée de cette liste blanche, où figureraient les opérateurs sérieux. Pour tous les autres, l'interdiction serait formelle.