Au-delà de la question des moyens qui doivent être consacrés aux contrôles, vous avez laissé entendre qu'en cas d'acte répréhensible, les sanctions ne sont ni assez rapides, ni assez fermes. Comment l'expliquez-vous ? Cela tient-il à l'économie des abattoirs, ou encore à leur importance sur le territoire dans lequel ils s'inscrivent ?