Sans la baisse des prix du pétrole, les résultats auraient sans doute été plus mauvais. Nous y reviendrons en juin. Mais la Cour des comptes n'est pas Madame Soleil… Il est évident que le pétrole peu cher, la politique d'assouplissement monétaire de la BCE et les taux d'intérêt bas ont joué de manière massive et très positive dans la maîtrise des dépenses. Mais tout le reste relève de la macroéconomie.