Cet amendement a le même objet que le précédent.
On ne peut pas accepter les propos de M. le rapporteur ; je remercie d'ailleurs notre collègue Véronique Massonneau qui nous a autorisé le principe de bonne foi. Il ne s'agit pas d'interpréter dans le mot « compétent » la capacité pour un salarié d'une entreprise d'analyser la formule chimique d'un produit qui serait à l'expérimentation avant d'être mis éventuellement sur le marché.