Le problème que vous évoquez est bien réel. Dans certains quartiers, la dissolution de la communauté nationale mène à des comportements apparemment enfantins, mais en réalité facteurs d'insécurité. J'ai vu dans le Vaucluse des « rodéos » durer jusque tard dans la nuit ; j'ai vu des mariages de personnes d'origine étrangère dont les divers dérapages devenaient proverbiaux.
Le texte manque de sévérité. Après tant d'années de laxisme, n'est-il pas temps d'oeuvrer avec plus de force pour préserver ces endroits de France qui s'éloignent de la communauté nationale ?
Par ailleurs, c'est souvent la police municipale qui intervient en premier ; ce texte devrait donc élargir les prérogatives de celles-ci. Il faut rétablir l'ordre, cadre indispensable de l'exercice des libertés.