La rapporteure générale a évoqué la problématique de la liquidité de marché. C'est le sujet numéro un. Lors d'un déjeuner avec l'ensemble des gestionnaires d'actifs et de passifs de la place, il m'a été dit qu'il n'y avait plus un papier obligataire, souverain ou d'entreprise, qui ait encore une valeur commerciale, puisque la pompe de la Banque centrale européenne (BCE) est en train de tout avaler. Avez-vous des inquiétudes sur la profondeur du marché obligataire souverain et du marché obligataire d'entreprises ? D'après tous les intervenants, le prix de transaction est proche de zéro.