Pour conclure, je dirais qu'il ne faut pas céder au catastrophisme, car les politiques de lutte contre la pollution de l'air ont fait la preuve de leur efficacité. Elles trouveront même un second souffle si nous mettons de l'ordre dans la gouvernance et que nous adoptons une approche sectorielle. L'objectif de notre législation demeure une bonne qualité de l'air.
Nous espérons que notre rapport servira de source d'inspiration des futures politiques publiques. Nous serons entendus demain, au ministère de l'écologie, par le conseil supérieur de la qualité de l'air.