C'est vrai, enfin, des conclusions des travaux issus de la table ronde « Radiofréquences, santé, environnement », qui seront connues avant la fin du premier semestre 2013. Ces travaux, en particulier les expérimentations de baisse des puissances d'émission des antennes, se poursuivent en ce moment même au sein du comité de pilotage – le COPIC.
La proposition de loi était, dans son écriture initiale, tout simplement disproportionnée dans ses effets, pour des risques sanitaires non avérés. Il n'y a pas de fondement scientifique à établir de nouvelles valeurs limites d'exposition aux champs électromagnétiques.