C'est à la direction générale de la santé (DGS) qu'il faudrait poser cette dernière question.
Pour le reste, le rapport préconisait de permettre aux patients de recourir plus tôt aux structures de prise en charge spécifique de la douleur, de façon à leur éviter l'errance diagnostique ainsi que la surmédicalisation, avec les risques d'effets secondaires que l'on connaît. En outre, ces structures, très souvent confrontées aux douleurs chroniques, sont en mesure de proposer des programmes d'éducation thérapeutique. Pour ces différentes raisons, elles nous paraissent indiquées pour accueillir les patients atteints de fibromyalgie.