En tant que présidente de la HAS, je ne peux répondre aux questions qui concernent la recherche. Il faudrait interroger les sociétés savantes les plus susceptibles de prendre en charge ce type de patients, en médecine de la douleur et en rhumatologie, ainsi que l'INSERM pour connaître les programmes de recherche consacrés à cette maladie – ou plutôt à ce syndrome. Il conviendrait également de se tourner vers la direction générale de l'offre de soins (DGOS) pour s'enquérir de l'existence de financements d'essais cliniques ou de recherches cliniques dédiés à cette pathologie.