Le fait de rester en France après la retraite résulte-t-il d'un choix ou est-il l'effet d'une nécessité – par exemple, de la condition de résidence imposée pour le versement de certaines prestations ? Quelle attitude adopter à l'égard du va-et-vient entre le pays d'origine et le pays d'accueil ? Faut-il envisager sur ce point des évolutions législatives ou réglementaires ?
Vous aviez souhaité que les politiques sociales de droit commun à destination de ces populations soient plus précisément encadrées à l'échelle nationale, notant en particulier une certaine timidité des caisses d'assurance vieillesse du régime général. Qu'est-ce qui, selon vous, devrait changer du côté des opérateurs ?