Madame Vautrin, je ne suis pas loin de partager en grande partie les remarques que vous venez de formuler. Cependant, par égard pour M. le ministre, dont nous connaissons l’emploi du temps et les obligations – et les engagements qu’il a demain, nous le savons tous, ont vocation à servir l’agriculture française – et par égard aussi pour notre travail collectif, nous ne sommes pas obligés d’être redondants : lorsque des amendements portant sur le même sujet ont déjà été défendus, on peut renoncer à son temps de parole. Cela ne contredit en rien ce que vous venez de dire.
La parole est à Mme Catherine Vautrin.