Madame Vautrin, en évoquant le prix prévisionnel moyen, vous avez pris l’exemple des céréales, d’une biscuiterie qui négocie avec la grande distribution. Alors certes, la fluctuation des prix existe bel et bien. Mais d’un autre côté, dans cette négociation commerciale, à combien d’exploitants agricoles l’industriel achète-t-il de grains ? Personne n’est capable de le dire !