Voici quinze ans que la réalisation du programme Galileo a été confiée aux industriels. Nous sommes en 2016 ; toujours rien à l'horizon. Il est prévu que le système soit opérationnel en 2020, mais il y a des retards. N'est-il pas dangereux que nous dépendions à ce point des États-Unis et de leur système GPS ?
Galileo fait-il l'unanimité parmi nos partenaires européens ?
La France peut-elle revendiquer le leadership européen en matière d'industrie spatiale, étant donné sa place dans le monde ?