Je souhaiterais, monsieur le rapporteur, madame la secrétaire d’État, que vous teniez compte des débats que nous ouvrons ici, notamment de celui que nous avons ouvert hier soir, lorsque nous avons dit que quatre centrales d’achat se partageaient 90 % du marché et que le ministre s’est permis de nous rétorquer qu’il aimerait rencontrer notre conseiller. Qu’il aille donc dire aux éleveurs qu’il trouve naturel qu’il n’y ait en France que quatre centrales d’achat qui représentent 65 millions de consommateurs, que tout va bien et qu’il n’y a pas de problèmes de concurrence ! Continuons ainsi, nous pourrons nous retrouver dans la rue ou dans les campagnes les jours prochains, et nous rencontrerons des difficultés avec nos éleveurs.