Je trouve un peu dommage de repousser ces amendements, car rien ne s’oppose à leur adoption. La nuit dernière, M. le rapporteur a évoqué, à juste titre, le risque de financiarisation des terres agricoles. Ce risque existe aussi pour la forêt. Cet amendement ne coûterait rien à l’État, et permettrait de soutenir une filière dont la France s’enorgueillit, avec son organisation unique en Europe. Essayons, de temps en temps, de défendre un minimum le modèle français !