Il s’agit d’un amendement qui correspond, je crois, à la philosophie commune du Gouvernement, du rapporteur pour avis et de l’opposition. Il vise à limiter les baisses de prix opérées dans le cadre des pratiques promotionnelles.
Les signataires de l’amendement considèrent que l’alimentation est la première des souverainetés et des libertés d’un pays, que les aliments ne sont pas de produits et de marchandises comme les autres, qu’il convient de respecter le travail des personnes qui les produisent, ce qui implique de limiter les pratiques commerciales abusives, lesquelles ont pour effet de dégrader la situation des producteurs et le rapport culturel que nos compatriotes ont avec leur alimentation.