Il est très favorable. En effet, si les régions ont désormais la main sur l’essentiel des dispositifs de formation, l’État ne doit pas se priver d’une capacité d’intervention dans les secteurs émergents. Cette disposition vient compléter tous ceux déjà en place – je pense aux écoles de la deuxième chance et à tous les dispositifs donnant leur chance aux jeunes qui entreprennent et créent l’économie de demain dans notre pays. Cette capacité donnée aux outils de formation professionnelle sera extrêmement précieuse.