Monsieur le ministre, les Russes nous disent que la loi d'autonomie n'a été votée que pour une période de trois ans. Est-ce exact ?
Quelles que soient nos opinions politiques, nous nous accordons tous sur le fait que les accords de Minsk sont la bonne feuille de route, et qu'il n'est pas question de confier au Donbass des prérogatives en matière de politique internationale, laquelle doit rester du ressort de l'État.
Je pense que vous avez tort de diaboliser les visites en Crimée. Car c'est avec ces visites que, peut-être, le point de vue sur la situation évoluera progressivement. Pour le reste, chacun a son opinion. D'autre part, je remercie M. Gontcharenko d'avoir fait preuve de plus de modération que lorsqu'il est intervenu à la télévision. Je crois que chacun d'entre nous apprend au cours de sa carrière parlementaire.