Non, c'est la bière qui est en cause, monsieur le député ! (Sourires)
Telles sont les indications que je voulais vous donner. Nous avons bien réfléchi, entre maires, car c'est une décision importante, qui met en jeu, aussi, notre responsabilité. Dès lors que l'on maintenait l'Euro 2016 – et je pense qu'il fallait le faire, à moins de céder à la menace et de se laisser « terroriser par les terroristes », selon une formule employée en d'autres temps –, il importait absolument de sécuriser les fan zones, au risque de voir les choses se passer ailleurs. Voilà pourquoi les dix maires ont décidé unanimement de s'inscrire pleinement dans ce dispositif et de travailler en lien étroit avec les préfets.