L'utilisation de produits phytosanitaires est, pour l'instant, le seul moyen de traiter les maladies qui affectent les cultures, notamment la flavescence dorée qui, sans traitement, continuera à se développer dans les vignes. L'une des solutions pour réduire la quantité des produits utilisés consiste à améliorer la qualité de leur application en tenant compte d'un certain nombre de données techniques : les dérives liées au vent, l'évaporation des bouillies, la taille des gouttes et leur accroche sur les végétaux. Quels sont les résultats des techniques testées par votre institut et progresse-t-on plus vite qu'auparavant dans ce domaine ? Par ailleurs, comment envisagez-vous de faire passer le message auprès des agriculteurs et, surtout, du grand public ? Il importe, en effet, que nos concitoyens comprennent que les agriculteurs utilisent des outils d'une haute technicité pour réduire au maximum l'impact de ces produits.