Les éléments apportés par Catherine Rémy sont très éclairants. Notre étonnement est, d'une certaine manière, étrange et montre bien que nous n'arrivons pas à penser que ce sont des animaux qui sont tués – en réalité des individus, même si l'abattage en série ne permet plus de les considérer ainsi – et que ce travail n'est pas un travail comme un autre. Nous avons l'air d'être surpris que les choses ne se passent pas comme si des robots étaient en train de tuer d'autres robots. Mme Rémy a montré les enjeux complexes de cette activité et montré que la violence lui est inhérente. Il y a là une très grande difficulté.