Quand vous évoquez la violence, elle recouvre deux phénomènes : la violence de l'acte et des violences qui vont au-delà du fait d'étourdir et de tuer un animal. Dans les trois vidéos, le problème n'était pas seulement de voir des animaux saigner, mais le fait que des gens faisaient preuve soit de sadisme, soit d'un tel manque d'humanité qu'ils en venaient à traiter les animaux vraiment comme des objets. J'entends bien que vous considériez la violence comme inhérente à ce travail d'abattage, comme quasi institutionnelle, mais rien ne légitime les comportements que nous avons vus.