Cette proposition trouve écho dans une autre, préoccupante, qui témoigne selon moi d’une vision libérale passéiste de la politique de santé. Vous proposez d’inscrire dans le code de la santé publique : « La politique de santé est fondée – et j’insiste sur ce mot – sur la recherche de l’efficience et sur une concurrence […] entre les offreurs de services de santé […]. » Monsieur le rapporteur, les mots que vous avez écrits dépassent sans aucun doute votre pensée,