Je confirme qu'à un système dans lequel les services vétérinaires jouaient un rôle de soutien technique, en prodiguant le cas échéant des conseils pratiques, a succédé un système dans lequel prévaut désormais une logique de contrôle. Or, qui dit contrôle dit prise de recul, d'où une coopération moindre avec les opérateurs et une plus grande distance entre ces derniers et les vétérinaires.