Félix Jourdan, sociologue, chargé d'études au sein de l'INRAANSES :
C'est l'un des effets pervers de la réglementation, qui impose un certificat de compétences en matière de protection animale. L'abattoir devra ainsi payer et l'opérateur et sa formation, sans aucune garantie qu'il reste salarié chez lui.