Vos propos ont été clairs, Monsieur le président.
Le vieillissement des centrales nous mène vers l'inconnu, avec des réparations qui laissent des aléas. Vos propos laissent penser que les fragilités s'accumulent.
Après les tests réalisés sur la centrale de Gravelines, peut-on considérer qu'il n'y a plus de risques, si ce n'est les risques normaux s'agissant d'une centrale nucléaire ?
Les montants à mobiliser pour les réparations et les mesures de précaution sont très importants. Les avez-vous chiffrés ? Vous avez indiqué que les opérateurs se fragilisaient. Peuvent-ils supporter ces coûts ? À défaut, avez-vous la possibilité de proposer un modèle économique qui reposerait, le cas échéant, sur le consommateur ?