On doit avancer, certes, mais il faudra faire des études pour adapter éventuellement l'anesthésie gazeuse à des productions auxquelles elle n'est aujourd'hui pas adaptable – et je ne parle même pas des questions de coût. En la matière, l'estimation qui nous est donnée est sous-évaluée, et je ne vois pas comment les structures que je représente, dont le chiffre d'affaires annuel est inférieur au million d'euros, pourraient investir les sommes nécessaires.