L'ouverture des portes a néanmoins ses limites. Vous n'allez pas organiser des portes ouvertes pendant la phase qui nous intéresse, qui est celle de la mise à mort des animaux. La vidéosurveillance relève évidemment d'un processus interne. Vous nous parlez d'ouverture, mais il est des choses que le grand public ne peut pas voir même si les animaux sont respectés et si leur mise à mort est opérée à l'aide des techniques adéquates et avec l'étourdissement nécessaire. Vous pouvez certes faire visiter un établissement vide en en montrant les outils, mais c'est le bien-être animal qui nous intéresse. L'organisation de portes ouvertes ne répond pas du tout à cette question centrale.