Quand je travaillais dans l'audit bancaire, je me servais de vidéosurveillance sur des caisses où se produisaient beaucoup d'erreurs, dans le but d'en déterminer les causes. Dans un cas, c'était une femme de ménage qui se servait dans une caisse que l'employée de la banque ne fermait pas correctement. Mais nous ne gardions pas les images aussi longtemps ; au bout d'une semaine elles étaient effacées, sauf celles qu'il fallait éventuellement donner à la police – mais, à l'époque, on nous disait que de telles images ne pouvaient servir de preuve.