Un terme n'a pas encore été prononcé dans nos échanges, alors qu'il est au coeur du problème : le contrôle, qui doit être pris en charge par l'administration. Aujourd'hui, sans inspecteur vétérinaire dans l'abattoir, la chaîne d'abattage ne démarre pas. Chaque entreprise d'abattage, publique ou privée, est soumise à un contrôle administratif. Les actes filmés par L214 ont été commis alors qu'un inspecteur vétérinaire était forcément présent quelque part : on ne le voit jamais, mais il était là. Cela pose question. Il ne s'agit pas seulement de la relation employeur-employé : nous sommes bien dans le cadre d'un contrôle administratif.