Nous en sommes seulement au stade des hypothèses, mais une des plus probables est celle d'une utilisation aux fins de contrôle administratif, dans la logique de ce qui se fait aujourd'hui de façon humaine et directe. Le contrôle administratif existe déjà par une intervention humaine directe, l'inspection vétérinaire devant contrôler à la fois l'aspect sanitaire et le bien-être animal, jusqu'à présent négligé. La vidéosurveillance sur la bouverie et le poste d'abattage peut-elle être un complément pour ce contrôle administratif ?