Il est difficile de s'exprimer à la place de confrères qui auraient été amenés à en discuter. De notre côté, nous travaillons souvent avec les études internationales, pour faire le point. Mais ce n'est pas l'assurance maladie qui décide de prendre en charge telle ou telle pathologie. Pour qu'il y ait une suite, il faut une saisine ministérielle et un avis de la Haute Autorité en santé.