Je l’ai déjà dit : la disposition actuelle du code de l’éducation est entièrement satisfaisante. Quel besoin avons-nous d’y toucher ? C’est une vaste question. Je pense par ailleurs que ce serait une erreur manifeste de faire de cette animation une occasion de rémunération.
Modifier un peu la formulation du deuxième alinéa permettrait de préserver la notion de gratuité dans l’engagement, fondamentale pour ancrer le bénévolat dans la jeunesse. Par ailleurs, je ne voudrais pas que la politisation de l’université ne débouche sur des affrontements entre factions politiques jusque dans la manière d’organiser la vie étudiante.