Comme l’amendement précédent, il vise à ouvrir les commissions de médiation aux représentants d’associations d’usagers oeuvrant dans les domaines de la lutte contre l’exclusion. Il s’inscrit dans la continuité des évolutions intervenues ces dernières années, qui font de la participation des personnes en situation d’exclusion aux politiques publiques un principe et une priorité à laquelle nous sommes tous, je pense, très attachés.